L’inimaginable nous soigne On s’est dit qu’elle apporterait notre fin, elle nous a préludé! À présent, notre phénix marin prospère en perpétuel mouvement Volant des plus hauts cieux colorés et plongeant dans les abysses les plus creux Elle qui arrête tout marathonien De tous les rythmes, elle le défibrillera Il se relèvera, si ce n’est que pour reculer Perdant à sa fuite Gagnant sur son propre subterfuge Elle qui égare tout éveil d’ivrogne De toutes les essences, elle le concentrera Il digérera sa désolation qu’il se sera fait servir Terminant son enterrement noyé Débutant sa fête épanouissante Elle qui engage tout chômeur De toutes les obligations, elle nous responsabilisera Il jettera ses applications Quittant son assujettissement Engageant son errance militante * Tous ces spectacles d’artifices ne peuvent briller au-delà de son concert sourd Car… La noirceur est un puits sans fond d’inspiration dont la lumière ne sert qu’à faire apparaître Tout comme les atomes ne peuvent renier
L’épouvantable nous frappe
On s’est dit qu’elle était derrière nous, mais elle nous a rattrapé!
L’inévitable se produit lorsque nous nous arrêtons, debout dans une destination nuageuse
Elle qui déroute tout marathonien
De toutes les directions, elle nous infléchira
Il se couchera pour s’y baigner
Aura-t-il assez d’endurance pour atteindre le fil d’arrivé?
Elle qui déshydrate tout organe d’ivrogne
De toutes les pulsions, elle nous dressera
Il avalera son vide d’affliction qu’il ne veut répandre
Fermentée, cette eau-de-mort
Contre ces vies deshydratees by Eddy-all-die-for, literature
Literature
Contre ces vies deshydratees
Alors mon caméléon coupera ses attaches pour continuer à chasser
ces moustiques et ainsi survivre, ailleur toujours ailleur.
Il arrive que l'Alien trouve une planète à envenimer mais,
son destin lui souffle d'abord son extinction,
pour inspirer ensuite une nouvelle étoile à personifier.
Hâte à toi qui n'habite que l'étranger, pour tu fuis cet ami qui t'enracine.
N'êtes-vous pas familiés à l'allogénèse?
Pourtant cette liberté ravageuse s'infuse dans notre soif d'émotions.
Car la pipe ne peut que fumer, et moi que l'allumer
La redoutable nous hante
On se dit qu’elle vient des autres, ils nous ont contaminés!
La peste émotionnelle que l’humanité passe l’éternité à fuir
Elle qui fait courir tout marathonien
De tous les pas, elle le suivra
Il se frappera toujours à son mur
Alors pourquoi ne pas marcher le soleil derrière soi?
Pourquoi ne se laisse-t-il pas guider par elle,
Étant un prolongement de son mouvement?
Elle qui fait rouler tout baril de bière à la gueule de l'ivrogne
De toutes les gorgés, elle l'asséchera
Il vomira toujours son malheur qu’il veut s’enfoncer
Al
J'écris pour laisser couler le vide. Le vide? Puisqu'il se trouve dans une masse dont je ne fais pas partie, ses particules restent autour sans que je puisse le chasser.
Si seulement le temps pouvait arrêté d'avancer, pour que je puisse arrêter d'être désillusionné de mon immobilité. L'horloge tourne et je les vois reculer alors que j'essaie de me rattraper.
Combien de fois j'ai essayé de me sauver en créant depuis? "Toujours utiliser son malheur pour créer"
J'avertis qu'il faut être conscient de son impact sur les autres. En vieillissant, je vois de plus en plus l'urgence de le f